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En mémoire de Marie-Anne
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Chère Marie-Anne,
Nous te disons au
revoir au nom du groupe de randonneurs Amirando.
Tu étais très chère à tous les Amirandistes et tu nous manqueras. Tu
nous manques déjà.
D’abord rencontrée
au comité des Sentiers de Grande Randonnée, tu as été invitée à la
marche Adeps organisée par la Petite Jauce.
Tu es venue avec Bob. Vous avez apprécié l’ambiance; vous avez appris
l’existence du groupe Amirando et vous l’avez rapidement rejoint.
Tout le monde adorait votre trio: Marie-Anne, Bob, petit Kiwi et ensuite
Chelsea qui doit elle aussi être bien triste de ne plus voir sa chère
maîtresse.
Vous avez organisé plusieurs randonnées tant à vélo qu’à pied et avez
aussi participé à de nombreuses sorties du groupe, sorties d’un jour,
d’un week-end ou d’une semaine.
Grâce notamment à
Amirando, Marianne et Bob ont découvert aussi le plaisir de rechercher
les cistes cachées dans la nature, le long des sentiers parcourus par le
groupe.
Marie-Anne avait
toujours le visage souriant, sa gentillesse vis-à-vis de chacun.
Elle qui souffrait depuis tant d’années ne manquait jamais de s’enquérir
de la santé des autres, ne se plaignait jamais… Et pourtant…
Marie-Anne tu
resteras un exemple pour nous tous.
Françoise et André - Marie-Paule et Jean-Claude et la famille des
Amirandistes |
A NOTRE AMI BOB ,
Marie-Anne nous laisse quelque chose de précieux en héritage;
cela ne coûte rien et nous pouvons le reproduire à l'infini.
Ce bien précieux qu'elle nous lègue c'est son " sourire" et cela pour
toute la vie; car elle aimait rire même pour de petites choses,
et sa joie et la ténacité dans la souffrance sont comme des ondes
positives qui nous traversent encore.
Voilà le testament des gens de valeur: ce n'est ni l'argent,
ni la situation, ni les titres que nous laissons;
ce qui reste de nous c'est ce qui fait vibrer l'âme, vivre avec bonheur
les choses simples, grandir en joie.
Merci pour tout cela Marie-Anne.
Michel et la famille " Amirando " |
A Marie-Anne, alias Vadrouille
Tu avais 65 ans
et pouvais vivre encore 30 ans mais le destin cruel en a décidé
autrement.
Le fil de la
vie s'est rompu désormais. Depuis, mes yeux sont mouillés et ta mort me
laisse un goût amer.
J’ai du mal à
croire à ton décès et pourtant, personne ne pourra rien y faire, tu es
partie à tout jamais.
Tu t’es battue
contre la maladie mais le combat était inégal ! En te voyant, nous
avions tous deviné que le crabe, comme tu l’appelais, allait gagner la
bataille.
Jamais, tu ne te plaignais mais, épuisée par ce long combat, tu as
déposé les armes et c’est ici la fin de ton trajet.
Tu aimais la
vie, la nature, la rando, les voyages. Tu trouvais ton bonheur dans les
choses simples de la vie.
Aujourd’hui, je
suis triste mais je veux que ton voyage continue à travers une petite
boite … une boite comme celle qui a été à l’origine de notre rencontre,
de beaux partages et d’une belle amitié.
Va chère amie, tu seras mon étoile au ciel. Il paraît que
là-haut la vie est belle.
Béatrice Leduc, Alias Nocturnes |
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